Les incohérences et les invraisemblances de PBLV

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ailebrune a écrit:

Justement si. Ça m'avait frappée d'ailleurs : au début, son cousin dit que ses parents sont séparés, mais la voisine en parle comme s'ils étaient toujours ensemble.

Je ne me souviens pas des paroles de la voisine, est-il possible qu'elle ait dit quelque chose comme "... ses parents, jamais là ...", qui peut laisser entendre les deux possibilités (ils partent ensemble-ils partent séparément) ?

Et à l'époque "parents jamais là" n'impliquait pas qu'ils étaient forcément loin géographiquement, mais a priori négligents.(souvent au bistro? ou ailleurs)

il est tout à fait invraisemblance que le seul sujet de conversation  à l'hôpital, au lendemain du drame qui s'y est produit et qui pose question, soit l'arrogance de Riva. A aucun moment, les personnels et Jeanne ne commentent  le fait qu'un individu mal intentionné ait pu trafiquer la feuille de route d'un patient. A aucun moment personne ne s'interroge sur le système de sécurité de Marseille Est, personne ne parle du brancardier - ah! dire que je le trouvais sympa, je ne me doutais de rien - je le sentais pas ce type - bref, le genre de propos inévitablement tenus en de telles circonstances.Il est même inconcevable que la presse ne s'empare pas du sujet. voilà qui aurait pu donner lieu à des scènes avec Eugénie qui tend son micro pour bien moins que ça. Dans ce genre de scandales , il y a des têtes qui roulent.
C'est un peu comme pour le squat de Sophie : le quartier parlait de la réaction de Thomas plutôt que du squat lui-même. Quand bien même Riva eût été odieux et imbuvable, en aucun cela n'excuse le geste criminel du brancardier. Mais l'intérêt de l'intrigue consiste à rééduquer Riva , à le rendre humble, voire à l'humilier comme le fait Jeanne qui lui imposent des conditions de travail inacceptables et susceptibles de mettre en danger la sécurité des patients.  Une telle attitude - et un tel scenario - sont irresponsables.

Là pour le coup je ne comprend pas Jeanne qui lui impose du travail de nuit à cause d'un pari stupide. On oublie totalement qu'à la base c'est le surmenage de Riva qui est la cause indirecte de l'erreur médicale.

Encore une intrigue très mal maîtrisée car on veut rendre comique ce qui à la base ne l'est pas

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raylen a écrit:

il est tout à fait invraisemblance que le seul sujet de conversation  à l'hôpital, au lendemain du drame qui s'y est produit et qui pose question, soit l'arrogance de Riva. A aucun moment, les personnels et Jeanne ne commentent  le fait qu'un individu mal intentionné ait pu trafiquer la feuille de route d'un patient. A aucun moment personne ne s'interroge sur le système de sécurité de Marseille Est, personne ne parle du brancardier - ah! dire que je le trouvais sympa, je ne me doutais de rien - je le sentais pas ce type - bref, le genre de propos inévitablement tenus en de telles circonstances.Il est même inconcevable que la presse ne s'empare pas du sujet. voilà qui aurait pu donner lieu à des scènes avec Eugénie qui tend son micro pour bien moins que ça. Dans ce genre de scandales , il y a des têtes qui roulent.
C'est un peu comme pour le squat de Sophie : le quartier parlait de la réaction de Thomas plutôt que du squat lui-même. Quand bien même Riva eût été odieux et imbuvable, en aucun cela n'excuse le geste criminel du brancardier. Mais l'intérêt de l'intrigue consiste à rééduquer Riva , à le rendre humble, voire à l'humilier comme le fait Jeanne qui lui imposent des conditions de travail inacceptables et susceptibles de mettre en danger la sécurité des patients.  Une telle attitude - et un tel scenario - sont irresponsables.

 Oui, tout ça est complètement dingue et à côté de la plaque!!! D'une légèreté et d'un esprit riquiqui surréalistes!

Disons qu'on peut imaginer que tout le personnel de l'hôpital a eu toutes les conversations sur le geste monstrueux du brancardier hors-champ. Mais même dans ce cas, c'est invraisemblable. Car vu ce qu'il a traversé, ils devraient plutôt tous se plier en quatre pour être sympa avec Riva.
Cela dit, ça ne m'a pas empêché de trouver très marrantes les scènes du double Riva parce que l'acteur les jouait bien. Je suis moins gênée par les invraisemblances quand on est dans une intrigue humoristique. Mais c'est vrai que si on considère l'ensemble de l'histoire, y avoir mis un geste aussi immonde et criminel est un curieux mélange des genres.

Précisément, c'est l'ellipse elle-même qui est une invraisemblance et qui fait dévier l'intérêt de la séquence sur la personnalité de Riva , alors que des possibilités intéressantes s'ouvraient dans le cas contraire : enquête policière à l'hôpital , ce qui changerait des tueurs en série, failles dans la gestion hosputalière, sujet, hélas, bien réel de nos jours, la remise en question de Jeanne, des collègues du brancardier, etc... On préfère ridiculise Riva. J'ai bien aimé sa réaction devant l'attitude dégoulinante de Thomas.

Oui, Thomas est un personnage pénible. Et rebelote ce soir quand, en plein speech autoritaire à Kylian sur son absence au lycée, il se métamorphose en midinette à la seconde où il apprend que Kylian a une copine...

Mais il fait des progrès : à plusieurs reprises, hier et aujourd'hui, j'étais à l'affût du "mon chéri" quand il parlait à Gaby après des moments où celui-ci avait été pénible, et ... non ! Pas de

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ailebrune a écrit:

Disons qu'on peut imaginer que tout le personnel de l'hôpital a eu toutes les conversations sur le geste monstrueux du brancardier hors-champ. Mais même dans ce cas, c'est invraisemblable. Car vu ce qu'il a traversé, ils devraient plutôt tous se plier en quatre pour être sympa avec Riva.
Cela dit, ça ne m'a pas empêché de trouver très marrantes les scènes du double Riva parce que l'acteur les jouait bien. Je suis moins gênée par les invraisemblances quand on est dans une intrigue humoristique. Mais c'est vrai que si on considère l'ensemble de l'histoire, y avoir mis un geste aussi immonde et criminel est un curieux mélange des genres.

Eh oui, comme d'hab', nous comblons les trous ... quitte à y aller de notre imagination quand il faut se contorsionner pour coller à un minimum de réalisme !  

Mais je veux quand même pas que ça s'arrête, na !

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Paty a écrit:

Mais il fait des progrès : à plusieurs reprises, hier et aujourd'hui, j'étais à l'affût du "mon chéri" quand il parlait à Gaby après des moments où celui-ci avait été pénible, et ... non ! Pas de

Je croyais être la seule à être agacée par ses « Mon chéri » intempestifs.

Ans a écrit:

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Je croyais être la seule à être agacée par ses « Mon chéri » intempestifs.

Pareil ! Du coup il semblerait qu'on soit plusieurs 

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Ans a écrit:

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Je croyais être la seule à être agacée par ses « Mon chéri » intempestifs.

+ 1 !

Fanny parle de Benjamin (l'ex de Sylvia), comme si elle ne faisait pas le rapprochement avec ''l'amant d'Estelle'', alors que Estelle s'était justement confiée à elle sur sa liaison avec Benjamin...

Bon rien de concret cela dit, elle peut ne pas vouloir dire à Sylvia que Estelle a aussi couché avec lui, mais quand même...

Ans a écrit:

Je croyais être la seule à être agacée par ses « Mon chéri » intempestifs.

Violette a écrit:

Pareil ! Du coup il semblerait qu'on soit plusieurs 

J'en suis aussi.

C'est Raylen qui en a parlé en premier, je crois !

Pierrot, il est évident que Fanny ne va pas raconter à Silvia que c'est entre autre avec Estelle que Benjamin avait couché ! Fannie est quelqu'un de discret, elle ne va pas mettre le ouaille dans leur petit groupe...

Le vieillissement de la photo qui donne exactement la photo de Jacob 
alors qu'en plus la photo de départ ressemble à un portrait robot.

Bon, ce soir, des à l'inventeur du logiciel magique qui sort pile poil, comme dit Clément dans le topic généraliste, la photo de Jacob !

Par rapport à "Mon chéri". Thomas  a toujours été comme ça avec Riva, niais, dégoulinant de ridicule .

Les dialoguistes insistent sur ça pour montrer que Gabriel et Thomas sont un couple, pour rentre crédible ce couple qui ne se porte pratiquement aucun geste d'affection en privé comme deux personnes amoureuses. Je ne demande pas un truc, ils bais.ent sur la table de la cuisine, mais des gestes, des regards qui matchent.
Avant avec Nicolas et encore plus avec Florian, les comédiens n'avaient pas besoin de tout ça , du "Mon chéri" à la pelle, les regards, les gestes étaient là pour rentre les couples crédibles !

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Paty a écrit:

C'est Raylen qui en a parlé en premier, je crois !

Yep. J'en suis aussi.

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jozephine a écrit:

Par rapport à "Mon chéri". Thomas  a toujours été comme ça avec Riva, niais, dégoulinant de ridicule .

Les dialoguistes insistent sur ça pour montrer que Gabriel et Thomas sont un couple, pour rentre crédible ce couple qui ne se porte pratiquement aucun geste d'affection en privé comme deux personnes amoureuses. Je ne demande pas un truc, ils bais.ent sur la table de la cuisine, mais des gestes, des regards qui matchent.
Avant avec Nicolas et encore plus avec Florian, les comédiens n'avaient pas besoin de tout ça , du "Mon chéri" à la pelle, les regards, les gestes étaient là pour rentre les couples crédibles !

en ce qui me concerne, et peut-être aussi les forumeurs qui sont exaspérés par les "mon chéri" de Thomas, ce n'est pas parce que les auteurs glissent des "mon chéri" dans les dialogues pour donner l'illusion d'un couple, c'est parce que Thomas l'emploie de manière ironique, juste avant une critique , une remarque négative, blessante , genre "mon chéri, c'est vrai que tu es un peu imbu de ta personne, un tout petit peu". A l'inverse, on ne voit jamais Riva lui dire : " mon chéri, c'est vrai que tu es un petit peu couillon", remarque qui serait tout aussi justifiée.

En ce qui me concerne, les "mon chéri" de Thomas s'ajoutent à une longue liste. Pour l'essentiel, je trouve le personnage agaçant et plutôt mal interprété.
Dommage parce que Laurent Kerusoré joue beaucoup mieux quand on lui écrit certaines scènes graves et qu'il joue sobrement.
Cela dit, l'acteur lui-même a l'air gentil comme tout et je c'est désolant pour lui que pblv s'arrête. Il en est un personnage principal depuis le départ. Ça va être très dur de rebondir.