USGS : L'épisode du jour, commentaires au quotidien (archive 21)

Pulsion, tu as écrit exactement tout ce que je pense moi-même au sujet de Mélissa : elle n'a aucune maturité ni clairvoyance, elle est irresponsable financièrement, et négligente en affaires (signer de tels contrats sans même y jeter un coup d’œil !)... Elle est en plus agressive envers les personnes qui veulent l'aider (ce qui ne l'empêche pas d'accepter sans protester l'argent d'Inès ). Bref, cette fille est un nid à embrouilles, toxique et sans cervelle.

Euh si elle refuse d'en parler à Inès, c'est peut être par honte tout simplement.

Shinochaz a écrit:

Euh si elle refuse d'en parler à Inès, c'est peut être par honte tout simplement.

Ça n'est pas une raison pour être aussi désagréable ni pour la jeter (surtout de la manière dont nous l'avons vue faire dans le teaser). Et si elle ne veut pas de sa sollicitude, elle peut aussi lui rendre ses sous...

Shinochaz a écrit:

Mais malheureusement très réaliste. Voir les affaires qui ont secoué le milieu porno francais "amateur" ces derniers mois.

https://www.20minutes.fr/societe/3309667-20220616-gardes-vue-viols-proxenetisme-impunite-porno-retour-affaire-jacquie-michel

https://www.20minutes.fr/justice/3310615-20220618-affaire-jacquie-michel-patron-site-pornographique-mis-examen-place-sous-controle-judiciaire

raylen a écrit:

Le cinéma n'est pas tout à fait blanc bleu non plus quant il s'agit de faire faire à une actrice ce qui n'était pas prévu. voir Maria Schneider et Le Dernier Tango à Paris.

Maïadelsol a écrit:

Pulsion, tu as écrit exactement tout ce que je pense moi-même au sujet de Mélissa : elle n'a aucune maturité ni clairvoyance, elle est irresponsable financièrement, et négligente en affaires (signer de tels contrats sans même y jeter un coup d’œil !)... Elle est en plus agressive envers les personnes qui veulent l'aider (ce qui ne l'empêche pas d'accepter sans protester l'argent d'Inès ). Bref, cette fille est un nid à embrouilles, toxique et sans cervelle.

Carrément ? Ça fait deux fois que tu la qualifies ainsi.

Pour moi, même si je me délecte du personnage tant il est bien construit, ce terme qualifie plutôt une Claudine, certainement pas Mélissa.

Mélissa est écervelée, oui. Elle fait partie de ces gens incapables de gérer l'argent et qui ensuite s'attirent les pires ennuis pour tenter de se rattraper financièrement. J'ai un oncle qui a fonctionné toute sa vie comme ça. On en a tous connus je pense. Côté pile, ce sont souvent des personnes enjouées et généreuses. Côté face, elles plongent régulièrement dans de gros ennuis (endettement, incapacité à payer son loyer, etc). J'en ai aidées une ou deux à mes dépens avant de comprendre que non, stop, ça ne sert à rien.

Mélissa a paniqué et cédé au chantage financier sans comprendre dans quoi elle se mettait. En s'interdisant même d'y réfléchir parce que, justement, elle avait peur. Ça se voit quand elle est au téléphone avec le photographe, qu'il lui propose la vidéo, elle balbutie qu'elle préfère continuer avec des photos, il lui raccroche au nez. Alors elle panique, et oui, elle y va. Mais ce qui lui arrive est atroce.
Ce genre d'histoire, malheureusement, est très réaliste. Des tas de nanas tombent ainsi dans la prostitution et le porno. Et vivent l'enfer.

Val a écrit:

 Aya avait déjà eu des bonnes répliques à son arrivée dans la série (affaire Engel) quand Thierry la draguait.

Oui !


(et merci pour le prénom... que je vais m'empresser d'oublier je suppose )

Flora24 a écrit:

Sans parler du "photographe" qui lui demande après tranquille si elle n'a pas envie de boire un verre avec eux ...

Et qui lui fait un "compliment" bien tordu du style : franchement bravo, t'avais l'air très à l'aise pour une première fois. Quelle ordure ! On peut imaginer que Melissa s'est retrouvée, comme souvent lors des viols, en état de sidération. Avec cette parole, elle doit en plus se sentir pire que minable, envahie par une honte qui peut la mener loin sur une pente auto-destructrice (plus rien à perdre).

Paty a écrit:

Déjà, j'étais stupéfaite de la voir signer les deux contrats (le premier pour les photos, le second pour le tournage) sans les lire !
Et, Pulsion, certes "personne ne l'a forcée", et oui, elle a le droit de faire ce qu'elle veut de son corps ; mais quand on voit comment le photographe, insidieusement, l'a amenée des photos tout court au porno avec plusieurs partenaires, tout en s'assurant qu'elle reviendra (en ne lui payant que la moitié de son dû), franchement, je la soutiens à fond !

Le pauvre stagiaire aux archives, à s'éplucher des kilomètres d'actes juridiques, anciens avec ça, sans parler de la poussière
Heureusement qu'on savait qu'il allait toucher au but 

Quant à "ces deux connes", ainsi aimablement qualifiées par Christian, c'est bien ce qu'on soupçonnait, elles se sont fait manipuler par bien plus fort qu'elles. Mais quel est le jeu de Christian ? Avoir compris qu'elles sont des escroques et les avoir utilisées pour qu'elles jouent les faussaires ? Si c'est le cas, il se sera contenté d'acheter les toiles à un prix abordable pour lui avant de les revendre un pont d'or. Si jamais l'arnaque est découverte, il peut jouer la bonne foi sans problème. Maaaalin.

Mais pauvre Hélène quand même. Elle tient vraiment à lui.

Super qu'Inès se soient confiée à Mo, vraiment la meilleure personne pour deviner ce qui a pu se passer pour Melissa, et pourquoi elle se comporte ainsi. Elle a fourni de judicieux conseils. Quant à Inès, elle est bien placée pour comprendre aussi parce qu'elle a vu sa mère dans un état terrible, agressive et bouleversée, quand l'histoire du viol avait ressurgie.
Vraiment top, et d'une grande cohérence, de ressortir Inès et Mo autour de Melissa !

Pour le coup, je me demande si on aura une suite à l'intrigue des tableaux. Tout donne l'impression que Christian a flairé le piège mais est finalement plus malin que tout le monde.

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Maïadelsol a écrit:

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Ils iraient bien ensemble...

Non pauvre Guilhem! Ça va encore être un rapport bancal Comme avec Elisabeth, elle va le considérer comme un valet, je verrais ça d'ici, il n'a pas un caractère fort, elle va le bouffer cette bonne femme.

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ailebrune a écrit:

Et qui lui fait un "compliment" bien tordu du style : franchement bravo, t'avais l'air très à l'aise pour une première fois. Quelle ordure ! On peut imaginer que Melissa s'est retrouvée, comme souvent lors des viols, en état de sidération. Avec cette parole, elle doit en plus se sentir pire que minable, envahie par une honte qui peut la mener loin sur une pente auto-destructrice (plus rien à perdre).

Cette intrigue Mélissa, je ne l'ai pas vue, car comme vous le savez j'en ai avais ras la casquette de leur intrigue tableau, ça ressortait justement de ces tableaux ça changeait. Finalement l'installation de la clim ou réparation mal effectuée, ça m'a lassée et plus intéressée, j'ai donc laissé tombé et vendredi jai quand meme vu l'épisode , voir oû ça en etait, et bien sur, je me suis demandé pourquoi Mélissa ne voulait plus retourner travailler, j avais pensé à des problèmes avec son patron.

Le critique d'art copain d'Hélène.....j'en étais sûr: un escroc.

Oui, celui-là, tout le monde l'a vu arriver de loin avec ses gros sabots, c'était tellement prévisible. Après on va voir qui va sortir victorieux de ce combat. Je parie sur Alix et Hélène, qui au passage va perdre son amant...

Le truc dont on est pas certain c'est si il a cru à l'existence ded Defino et qu'il les a arnaqué sur leur valeur "réelle", ou si il est rentre dans leur jeu pour flairer des plus gros poissons.

Personnellement, je pense qu'il n'a jamais cru à l'existence de ces toiles mais l'avenir nous le dira.

Ou pas...j'ai peur qu'on en reste sur cette fin ambiguë.

Shinochaz a écrit:

Pour le coup, je me demande si on aura une suite à l'intrigue des tableaux. Tout donne l'impression que Christian a flairé le piège mais est finalement plus malin que tout le monde.

Je n’ai pas compris en quoi consistait l’arnaque de Christian et de son associé. 
Apparemment les 500000€ ont bien été versés à Alix…

Ben, apparemment il se doute bien depuis le début que c'est une arnaque, et pourtant il rentre dans leur jeu, suggérant même qu'il faudrait "une seule preuve de plus..." (et, oh miracle, cette preuve surgit ).
Donc, soit il est venu pour faire tomber les arnaqueuses, et il va récupérer l'argent versé s'il est un agent infiltré travaillant sous couverture.
Soit, admirant l'astuce des escroques, il les laisse faire le boulot, et profite de ce coup de théâtre juteux qu'est la découverte de Definod pour empocher de grosses sommes en revendant les toiles plus cher qu'il ne les a payées en lot à Alix et Hélène (et en ne révélant bien sûr jamais que Definod n'a pas existé).

Ce qui me dégoûte le plus, c'est qu'il ait fait croire à Hélène qu'il l'aime...

Je me demande, du coup, comment il aurait réagi si Hélène lui avait révélé le coup monté...

ailebrune a écrit:

Mélissa est écervelée, oui. Elle fait partie de ces gens incapables de gérer l'argent et qui ensuite s'attirent les pires ennuis pour tenter de se rattraper financièrement.

Mélissa a paniqué et cédé au chantage financier sans comprendre dans quoi elle se mettait. En s'interdisant même d'y réfléchir parce que, justement, elle avait peur. Ça se voit quand elle est au téléphone avec le photographe, qu'il lui propose la vidéo, elle balbutie qu'elle préfère continuer avec des photos, il lui raccroche au nez. Alors elle panique, et oui, elle y va. Mais ce qui lui arrive est atroce.

ailebrune a écrit:

Et qui lui fait un "compliment" bien tordu du style : franchement bravo, t'avais l'air très à l'aise pour une première fois. Quelle ordure ! On peut imaginer que Melissa s'est retrouvée, comme souvent lors des viols, en état de sidération. Avec cette parole, elle doit en plus se sentir pire que minable, envahie par une honte qui peut la mener loin sur une pente auto-destructrice (plus rien à perdre).

Melissa semble éprouver un mélange honte et colère. Elle s’enferme refuse l’aide d’Inès, ne veut plus parler à Enzo et ne retourne pas travailler. 
Inès va-t-elle pouvoir l’aider?
En plus, le photographe connaît son adresse et elle n’a pas rempli son contrat qui prévoyait 2 films!

Paty a écrit:

Ben, apparemment il se doute bien depuis le début que c'est une arnaque, et pourtant il rentre dans leur jeu, suggérant même qu'il faudrait "une seule preuve de plus..." (et, oh miracle, cette preuve surgit ).
Donc, soit il est venu pour faire tomber les arnaqueuses, et il va récupérer l'argent versé s'il est un agent infiltré travaillant sous couverture.
Soit, admirant l'astuce des escroques, il les laisse faire le boulot, et profite de ce coup de théâtre juteux qu'est la découverte de Definod pour empocher de grosses sommes en revendant les toiles plus cher qu'il ne les a payées en lot à Alix et Hélène (et en ne révélant bien sûr jamais que Definod n'a pas existé).

Ce qui me dégoûte le plus, c'est qu'il ait fait croire à Hélène qu'il l'aime...

Je penche clairement pour cette hypothèse.
Ce marchand d'art a flairé la bonne affaire quand il a compris qu'elles étaient des escroques, et ce dès le Brenas.
Pour se les mettre dans la poche, il achète un Brenas, fait la cour à Hélène, prétend se mettre en couple avec elle en mode amoureux...
Il orchestre tout depuis le départ et en parle avec son associé au téléphone (la mystérieuse conversation interrompue quand Hélène arrive).
C'est lui qui suggère l'idée d'un peintre précurseur de l'abstraction qui aurait existé avant Kandinsky (à Hélène si je me souviens bien). Quelque jours plus tard, bingo, une mystérieuse toile arrive à la galerie en sa présence. Elles sont tombées dans le panneau en faisant réaliser exactement ce qu'il souhaitait.
Dès lors, il fait le gars super intéressé, les pousse à en faire davantage, propose une somme mirobolante (pour elles, pas pour lui vu que c'est juste un investissement) à condition qu'elles en fassent davantage côté preuves...
Résultat : l'achat d'un paquet de toiles qui bénéficient d'un buzz soudain et qu'il peut revendre à prix d'or.
Si l'escroquerie est découverte, il n'aura aucun ennui et gardera ses bénéfices. Les acheteurs porteront plainte contre Alix et Hélène. Pas lui. Histoire de se couvrir, il a même prétendu être convaincu de l'authenticité de ces toiles auprès du critique d'art.