Plus belles les séries (PBLV encore plus belle, USGS, DNA, ITC) - Le FORUM |
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Auteur | Message |
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kikoudu33
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Ven 15 Juin 2018 - 18:19 | |
| - Shinochaz a écrit:
Ca démontre surtout ce que l'on disait l'autre jour : contrairement au début de la série, les Mistraliens ne forment pas/plus une grande famille, les personnages évoluant la plupart du temps dans dans leur propre univers séparé des autres, et cela se ressent sur l'ambiance de travail : les comédiens qui ne tournent pas ensemble se connaissent à peine, un peu comme un employé du deuxième étage qui ne ferait que croiser son collègue du 4ème dans l'ascenseur.
D'ailleurs a-t-on déjà eu des scènes entre Anémone et Francesco ? Je n'ai pas souvenir qu'ils aient déjà eu des scènes ensemble mais je peux avoir oublié. Sinon, d'accord avec le reste de ton commentaire. |
| nicolas8401 Super actif
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Ven 15 Juin 2018 - 20:17 | |
| - Flora24 a écrit:
Après, pour prendre l'exemple de l'entreprise: certains collègues font toujours plus d'effort que d'autres pour apprendre à se connaître Oui mais dans les très grandes entreprises, il n'y a pas forcément l'occasion de parler avec certaines personnes. Et c'est un peu ce qui doit arriver dans PBLV, avec les très nombreux acteurs, dont certains ne jouent jamais ensemble. |
| Shinochaz Modérateur
Âge : 44 moderation@pblvfrance3.com
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Ven 15 Juin 2018 - 20:22 | |
| Et n'oublions pas que lorsqu'ils ne jouent pas, les acteurs font autre chose de leurs vies. Emanuele Giorgi ne doit pas trainer sur les plateaux en ce moment. --------------- Membre unique et permanent de la brigade antispoil et de la team Delport ! Une main de velours dans un gant de fer ! |
| MISSMISSO1
| | Tony Modérateur
moderation@pblvfrance3.com
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Lun 9 Juil 2018 - 17:03 | |
| Interview de Jules Fabre (Théo Bommel) pour Toutelatélé Depuis septembre 2017, Jules Fabre incarne Théo Bommel, jeune homme issu d’une famille arrivée à trois, comptant Clément, le père, et la fille Clara, désireuse de devenir Antoine. Dans l’épisode de ce jeudi 28 juin, Coralie et les Bommel sont confrontés au retour de Delphine, la mère de Théo et Clara qu’ils n’ont pas revue depuis neuf ans. Pour Toutelatele, Jules Fabre a commenté cette arrivée mouvementée, tout en revenant sur la particularité d’avoir ses propres parents acteurs dans la série - Marie Réache (Babeth) et Alexandre Fabre (Frémont).Joshua Daguenet : Quels souvenirs remontent quand, à 20 ans, on se retrouve dans la peau d’un lycéen évoluant en seconde ?Jules Fabre : C’est toujours agréable de se sentir plus jeune, j’ai toujours joué des personnages moins âgés que moi. Je n’ai jamais été rebelle au lycée et devoir incarner ce mec insolent me plaît beaucoup. À mon âge, on prend un peu de maturité donc je ne pouvais pas être mieux servi au niveau du rôle. Théo est arrivé dans la peau d’un lycéen turbulent. Le voilà gentil, attentionné et calme. Pourquoi s’est-il apaisé au fil des mois ?Il s’est assagi pour l’instant mais à un moment son côté rebelle va resurgir. Son histoire d’amour avec Mélissa l’a calmé, tout comme l’acceptation de Coralie, en oubliant qu’elle était sa prof de maths. Théo et Clara ont remplacé les lycéens présents en terminale l’an passé à Scotto. Est-ce une pression de devoir se faire accepter du public, et ainsi, faire oublier certains personnages ?Baptiste et Emma ont été très présents dans des arches différents avec leur enfant. Je n’ai pas eu l’impression de prendre une place, après il y a du renouvellement et c’est un challenge d’arriver en tant que lycéen. La seule pression est de faire imposer notre propre personnage, sans faire de comparaison. Votre personnage a formé un couple très peu montré à l’écran. L’arrivée de Mila va-t-elle lui faire tourner la tête ?Il y a une entente mais je ne sais pas si cela va partir sur une histoire d’amour. C’est vrai que le retour de Mélissa n’est pas prévu donc Théo est libre dans ses conquêtes. C’est un garçon qui ne se pose pas de questions et qui se lâche pas mal sur les filles. Toutes les portes sont ouvertes. « Le côté rebelle de Théo va resurgir » Après avoir mal vécu la romance de son père et la transidentité de Clara, Théo est confronté au retour de sa mère. Comment va-t-il réagir en la revoyant ? Théo a été le membre de la famille le plus touché par le départ de sa mère. Il aura beaucoup d’attentes vis-à-vis d’elle et ne va pas se montrer agressif, contrairement à Antoine et Clément. Eux, sont dans le refus mais Théo a envie de croire en sa mère. La question va également tourner autour de Coralie car elle est devenue une mère de substitution pour lui et ils partagent de jolis moments de complicité. La volonté de compréhension va prendre le dessus sur la surréaction. Théo ne s’est pas encore retrouvé au centre d’un prime ou d’un épisode spécial – comme la prise d’otages -. Dans quelle situation l’imaginez-vous être au cœur d’un tel événement ?Mon personnage a besoin d’action et d’être mis face à de grosses responsabilités. Un gros choc comme un meurtre pourrait le remuer et le faire gagner en maturité. Il est le pilier d’un lycée avec ses deux redoublements et il lui faut de fortes émotions. De retour à la maison, votre personnage montre beaucoup de maturité pour les différentes tâches...Oui, à la maison, il gère, mais il ne s’assume pas encore en tant qu’homme. Il garde aussi ce côté taquin et chieur. Comment vont évoluer les rapports entre Théo et Clara, avec les velléités de changement de sexe de la sœur de votre personnage ?Leurs rapports vont se stabiliser. Théo a compris la chose malgré des difficultés. Après, Antoine ne peut pas faire la transformation physique avant 18 ans mais l’écriture de Plus belle la vie devra gérer la situation et l’intrigue sera constante car Antoine ne redeviendra pas une femme. « Théo va chercher à comprendre le départ de sa mère » Vous n’avez pas encore partagé de scène avec vos parents : Alexandre Fabre (Frémont) et Marie Réache (Babeth). Est-ce qu’une intrigue entre vos trois personnages est envisageable ?J’aimerais bien mais nous sommes dans une série, il y a une volonté d’émancipation. J e ne peux pas être tout le temps aux côtés de mes parents. Partager une intrigue entière me paraît difficile car nos personnages n’ont rien en commun, je verrais davantage des clins d’œil. J’ai assisté en direct à une séquence entre Babeth et Frémont car ces deux personnages peuvent avoir un quelconque rapport alors que c’est compliqué pour ma part. Alexandre Fabre est présent depuis les premiers épisodes. Vous voyez-vous suivre une longue aventure au sein du Mistral ?Je l’espère. Il est toujours passionnant de suivre un personnage pendant plusieurs années. Je souhaite continuer l’aventure le plus longtemps possible, j’en apprends énormément tous les jours. Plus belle la vie traite constamment de sujets touchant la société française. En tant que jeune adulte, quels thèmes récemment abordés vous ont le plus interpellé ?L’intrigue transgenre m’a beaucoup marquée. Je me suis beaucoup renseigné au moment de la jouer et cette communauté est assez peu représentée. C’est génial d’en parler dans un feuilleton quotidien. Cette intrigue est culottée et je suis fier de représenter cette série pour le traitement de ces sujets de société. Quelle est votre actualité en dehors des plateaux de tournage ?Je pratique beaucoup le théâtre, j’ai monté un Cyrano de Bergerac, d’Edmond Rostand. Sur cette pièce, je fais la mise scène, je suis comédien et je compose la musique. Je suis guitariste et je chante. Cet été, je joue à Avignon le spectacle « Britannicus on stage », d’après l’œuvre de Jean Racine. http://www.toutelatele.com/jules-fabre-plus-belle-la-vie-antoine-ne-redeviendra-pas-une-femme-101333 |
| likeasunshine Habitué(e)
Âge : 50
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Lun 9 Juil 2018 - 19:11 | |
| Melissa ne revient pas! Dommage j'aurais aime une confrontation entre elle et Mila! |
| ailebrune Super actif
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Mar 10 Juil 2018 - 0:21 | |
| "Plus belle la vie traite constamment de sujets touchant la société française. En tant que jeune adulte, quels thèmes récemment abordés vous ont le plus interpellé ?"Jules Fabre : "L’intrigue transgenre m’a beaucoup marquée." Magnifique ! |
| Flora24 Modératrice
Âge : 37 moderation@pblvfrance3.com
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Mar 10 Juil 2018 - 9:52 | |
| --------------- "Mieux vaut mourir incompris que passer sa vie à s'exprimer." (William Shakespeare)
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| jozephine
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Jeu 20 Sep 2018 - 10:57 | |
| Interview de Grégory Questel, lors du Festival de la fiction de La Rochelle Vous incarnez Xavier Revel dans Plus belle la vie. C'est donc une série dont on peut partir, puis y revenir ? Oui, tant qu'on n'est pas mort… et encore ! (il rit) Je suis en très bons termes avec la production. Donc, s'il y a une envie à un moment donné… Je suis revenu deux mois cette année. C'était génial de revoir tout le monde, de se retrouver avec Dounia alias Johanna Marci. Les choses ont un peu changé sur le tournage, il y a une troisième équipe qui filme des petites séquences d'illustration, en extérieur. Il y a des images tournées avec un drone, aussi.
A quoi attribuez-vous ces changements ? La production a changé. Et il y a de la concurrence aussi. De l'intérieur, nous sommes ravis d'aller vers de plus en plus de qualité et la concurrence pousse à cela.
Seriez-vous prêt à revenir pour plus longtemps dans Plus belle la vie ? Oui. C'est bien, j'ai fait une pause de quatre ans, sans compter cette parenthèse. C'est moi qui en avais besoin car le tournage est très chronophage. J'ai écrit ce projet de série et une pièce, j'ai tourné d'autres choses et je fais beaucoup de doublage. En sortant de Plus belle la vie, j'ai fait un stage de doublage. Je n'ai pas encore d'acteur attitré, mais je viens de doubler le grand-père, jeune, dans le film d'animation Miraï. Je fais aussi des voix pour des publicités. Qu'est-ce que cela change dans votre manière de jouer ? On joue vraiment différemment. Cela dépend des personnages. On m'a demandé si je voulais doubler un serial killer transsexuel dans un film flamand, c'est génial ! Je crois que j'avais besoin aussi de pouvoir retourner au supermarché tranquillement, de me poser en terrasse. La voix, c'est plus dans l'ombre. Et aujourd'hui, j'ai bien envie de retrouver Xavier Revel, en espérant aussi des modifications. J'aimerais que le personnage évolue un peu, après son divorce, qu'il ait pris des "coups dans l'aile".
Cela vous surprend-il que l'enthousiasme des fans soit toujours aussi fort, même quand on ne fait plus partie d'une série ? Oui et non. Avant ce retour, cela faisait plus de trois ans que j'étais parti de Plus belle la vie. Deux mois d'antenne et le prime ont remis un coup de projecteur sur mon personnage. Mais c'est surprenant. Et en même temps, nous sommes dans le salon des gens tous les jours et ils connaissent mieux nos personnages que leurs cousins, par exemple. Quand ils nous voient, ils ont l'impression de voir un ami. Je rebondis sur l’histoire du drone …. Faire des prises de vue avec un drone ne coûtent pas cher … et ça comble les trous dans un épisode D’aller dans la qualité ….mouais faire de plus en plus de pub déguisée et dernièrement très grossièrement, est-ce de la qualité !!??? Mr Questel nous prend pour des pigeons ou il a vraiment envie de revenir dans la série et il caresse le dos de la prod !!!!
Dernière édition par jozephine le Jeu 20 Sep 2018 - 11:46, édité 1 fois |
| Shinochaz Modérateur
Âge : 44 moderation@pblvfrance3.com
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Jeu 20 Sep 2018 - 11:28 | |
| Ouaip la qualité c'est vite dit, quand on a vu la scène "lellouchienne" d'hier soir --------------- Membre unique et permanent de la brigade antispoil et de la team Delport ! Une main de velours dans un gant de fer ! |
| Shinochaz Modérateur
Âge : 44 moderation@pblvfrance3.com
| Sujet: Interviews Jeu 20 Sep 2018 - 12:16 | |
| Ils n'étaient pas obligé d'en faire des tonnes avec la caméra...je l'ai dit ailleurs mais je trouve que question réalisation, PBLV commence à souffrir la comparaison avec USGS, plus fraiche, et ce ne sont pas trois plans de drones qui vont changer grand chose --------------- Membre unique et permanent de la brigade antispoil et de la team Delport ! Une main de velours dans un gant de fer ! |
| Tony Modérateur
moderation@pblvfrance3.com
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Ven 12 Oct 2018 - 21:22 | |
| Pourquoi Laëtitia Milot n'est-elle plus présente dans le générique de PBLV ? La comédienne répond à Télé Loisirs Son nom a disparu du générique de Plus belle la vie sur France 3, elle n'est donc plus récurrente et ne touche plus de salaire de la production.Serge Dupire (Vincent), Rebecca Hampton (Céline), Laurent Kerusoré (Thomas), Michel Cordes (Roland), Sylvie Flepp (Mirta), Cécilia Hornus (Blanche), Alexandre Fabre (Charles) et Anne Décis (Luna) sont toujours considérés comme des acteurs récurrents de Plus belle la vie sur France 3, et sont donc payés même si la production ne les sollicite pas pour tourner. Télé Loisirs - Depuis un peu plus d'un mois, Laëtitia Milot, vous avez perdu ce statut pour celui de "guest", payé seulement à la prestation. Pourquoi ? Laëtitia Milot - C'est normal. À partir du moment où je m'absente six ou huit mois, je ne vais pas être payée à ne rien faire. Quand je participais à Danse avec les stars ou que je tournais des fictions pour TF1, j'étais payée pour cela et je ne percevais donc rien de Telfrance [producteur de la série de France 3, ndlr]. Télé Loisirs : Quand reverra-t-on Mélanie dans PBLV ?Laëtitia Milot - J'ai proposé de revenir en septembre-octobre 2018. La production était d'accord, mais à ce moment-là d'autres intrigues étaient lancées. Nous devons nous voir dans les prochains jours... Mais je ne vous cache pas que je lis des scénarios de fictions pour France Télévisions et TF1, tout n'est pas prêt à 100%, mais je pourrais les tourner en novembre et en décembre. Corinne Calmet, Télé Loisirs, 12/10/2018------------------------------------------ A noter que Laetitia Milot a été la comédienne la mieux payée de PBLV pendant de nombreuses années, avec une rémunération mensuelle avoisinant les 20 000€. |
| fiesta34 Super contributeur !
| Sujet: Milot Dim 14 Oct 2018 - 12:13 | |
| Elle revient dans pblv en décembre parait til.Elle devait revenir avant.Mais on dirait toujours quand elle va daigner revenir (enfin je sais qu'elle est bien prise) que c'est un grand événement et qu'on l attend toute l année lol! Elle avait meme déjà parlé d un 2eme enfant, je sais plus oû jai lu ça, ou alors c'est inventé, c'est trop de pub autour d elle, c'est un humain comme les autres! Des fois je ne lis meme pas des articles la concernant elle arrete plus ! |
| Flora24 Modératrice
Âge : 37 moderation@pblvfrance3.com
| | nicolas8401 Super actif
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Dim 14 Oct 2018 - 12:40 | |
| - fiesta34 a écrit:
- Elle revient dans pblv en décembre parait til.Elle devait revenir avant.Mais on dirait toujours quand elle va daigner revenir (enfin je sais qu'elle est bien prise) que c'est un grand événement et qu'on l attend toute l année lol! Elle avait meme déjà parlé d un 2eme enfant, je sais plus oû jai lu ça, ou alors c'est inventé, c'est trop de pub autour d elle, c'est un humain comme les autres! Des fois je ne lis meme pas des articles la concernant elle arrete plus !
C'est vrai que c'est étonnant, cette présence récurrente, même quand il n'y a pas grand-chose à dire. |
| Shinochaz Modérateur
Âge : 44 moderation@pblvfrance3.com
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Dim 14 Oct 2018 - 13:12 | |
| - fiesta34 a écrit:
- Elle revient dans pblv en décembre parait til.Elle devait revenir avant.Mais on dirait toujours quand elle va daigner revenir (enfin je sais qu'elle est bien prise) que c'est un grand événement et qu'on l attend toute l année lol! Elle avait meme déjà parlé d un 2eme enfant, je sais plus oû jai lu ça, ou alors c'est inventé, c'est trop de pub autour d elle, c'est un humain comme les autres! Des fois je ne lis meme pas des articles la concernant elle arrete plus !
Je pense que c'est moi qui ai mal compris : elle lit des scénarios pour TF1 et France TV et pourrait les tourner dès novembre-décembre. En ce qui concerne PBLV, au vu des déclarations de la production les intrigues pour 2018-2019 sont déjà écrites, du moins dans leurs grandes lignes et orientations, donc son retour "prochain" je n'y crois pas trop... J'ai tout de même l'impression que les choses ont changé : avant PBLV semblait être à la disposition de Laetitia Milot, c'est à présent l'inverse. Elle le reconnait elle-même : je pouvais revenir en septembre-octobre mais il y avait déjà des intrigues. Ca plus sa disparition du générique, elle n'est plus considérée comme un élément indispensable (même symbolique) au feuilleton. --------------- Membre unique et permanent de la brigade antispoil et de la team Delport ! Une main de velours dans un gant de fer ! |
| likeasunshine Habitué(e)
Âge : 50
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Dim 14 Oct 2018 - 17:42 | |
| - Shinochaz a écrit:
- fiesta34 a écrit:
- Elle revient dans pblv en décembre parait til.Elle devait revenir avant.Mais on dirait toujours quand elle va daigner revenir (enfin je sais qu'elle est bien prise) que c'est un grand événement et qu'on l attend toute l année lol! Elle avait meme déjà parlé d un 2eme enfant, je sais plus oû jai lu ça, ou alors c'est inventé, c'est trop de pub autour d elle, c'est un humain comme les autres! Des fois je ne lis meme pas des articles la concernant elle arrete plus !
Je pense que c'est moi qui ai mal compris : elle lit des scénarios pour TF1 et France TV et pourrait les tourner dès novembre-décembre.
En ce qui concerne PBLV, au vu des déclarations de la production les intrigues pour 2018-2019 sont déjà écrites, du moins dans leurs grandes lignes et orientations, donc son retour "prochain" je n'y crois pas trop...
J'ai tout de même l'impression que les choses ont changé : avant PBLV semblait être à la disposition de Laetitia Milot, c'est à présent l'inverse. Elle le reconnait elle-même : je pouvais revenir en septembre-octobre mais il y avait déjà des intrigues. Ca plus sa disparition du générique, elle n'est plus considérée comme un élément indispensable (même symbolique) au feuilleton. Tout a fait d'accord, et dans les retours prevus pour les 15 ans de la serie, il n'est pas sur du tout que la prod. Ait pense a elle... |
| fiesta34 Super contributeur !
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Dim 14 Oct 2018 - 19:07 | |
| On nous raconte tellement de choses à son sujet.Bon tant mieux si Pblv n'est plus à sa disposition, ils vont pas changer leurs intrigues de septembre octobre pour madame.Les vents tournent, un moment on plait puis ensuite on vaut plus rien.Peut etre un jour, c'est elle qui viendra "ramper" auprés des scénaristes.Qu'elle profite bien car d autres ont cru bien faire de quitter la série et n'ont rien fait de bon.Elle, Laetitia, maintenant qu'elle a eu sa fille, je ne sais pas si c'est elle qui impose son image ou si elle est vraiment trés demandée. |
| Tony Modérateur
moderation@pblvfrance3.com
| Sujet: Interview de Toma de Matteis (producteur "Un si grand soleil" et ancien de Telfrance, directeur artistique de PBLV de 2004 à 2018) Sam 8 Juin 2019 - 18:29 | |
| Interview de Toma de Matteis (producteur "Un si grand soleil" et ancien de Telfrance, directeur artistique de PBLV de 2004 à 2018) Toma de Matteis : "Nous sommes la série quotidienne la plus aboutie des trois" Après une première saison à l'antenne, le producteur du feuilleton de France 2 dresse un bilan positif dans une interview à puremedias.com. L'homme derrière "Un si grand soleil", c'est lui. Toma de Matteis est le producteur du feuilleton quotidien lancé par France 2 en août dernier dans une case inédite, celle de 20h40, juste avant le prime time. Il préside donc aux destinées de la série aux côtés d'Olivier Szulzynger, producteur associé du programme produit par France TV Studio, filiale du groupe France Télévisions. Un homme qui était d'ailleurs, jusqu'en 2018, directeur de collection de "Plus belle la vie", le doyen des feuilletons français qui fête ses 15 ans cette année, tout comme Toma de Matteis en était le producteur artistique.Côté chiffres, chaque soir, "Un si grand soleil" réunit en moyenne et en audience consolidée 3,7 millions de téléspectateurs pour 15,6% de part de marché, selon Médiamétrie (chiffres arrêtés au 3 juin). Une quarantaine de rôles récurrents gravitent à Montpellier, la ville du sud de la France qui accueille les intrigues, pour une équipe technique forte de plus de 200 personnes.France 2 a diffusé vendredi dernier le 200e épisode d'"Un si grand soleil". Après quasiment une saison de diffusion, quel bilan tirez-vous du lancement de ce nouveau feuilleton quotidien ?Le bilan est très positif. La part de marché de la case a clairement été améliorée cette année par rapport à l'année dernière. Je pense que le groupe France Télévisions est très satisfait aussi même si je ne peux pas parler à leur place. On a eu une collaboration hyper positive avec les gens de la chaîne. Le fait qu'une deuxième saison soit en cours d'écriture est plutôt le signe qu'il s'agit d'un pari réussi. De notre point de vue de producteur, on a aussi une vraie satisfaction sur le plan de la qualité de l'objet proposé aux téléspectateurs, que ce soit en terme de narration, visuellement et en terme de musique. On va continuer à se retrousser les manches parce qu'il s'agit d'une aventure longue et complexe, qui se fait au prix de beaucoup d'énergie investie. France Télévisions vous avait-il fixé un objectif d'audience ?Cela n'a jamais été super clair. L'objectif était globalement d'améliorer la case mais pour Delphine Ernotte-Cunci (la présidente du groupe public, ndlr), je pense que le vrai objectif était beaucoup plus que le programme soit une vraie rencontre populaire, qu'il y ait un vrai échange qui existe. Je pense que de ce point de vue-là, elle est satisfaite. Aujourd'hui, un rendez-vous existe autour d'"Un si grand soleil". Maintenant, il reste tout un tas de zones d'amélioration. On peut être à la fois contents et critiques, c'est ce qui nous fait avancer. Visuellement, "Un si grand soleil" se distingue des deux autres feuilletons quotidiens par son image soignée et ses décors de très bonne facture. Comment y parvenez-vous avec un budget inférieur aux autres ?Ce sont des projets qui n'ont pas été montés de la même manière. Nous avons un budget inférieur aux deux autres feuilletons avec 29 millions d'euros par saison, ce qui signifie qu'on est 10 à 15% moins financés que nos camarades. Notre équipe tourne plus de jours que les équipes de "Plus belle la vie" et potentiellement que les équipes de "Demain nous appartient". Avec des budgets limités et sur des séries qui se produisent au quotidien, je trouve que la meilleure facture qui existe des trois programmes, c'est la nôtre. C'est mon constat : notre lumière est meilleure, notre image est meilleure, la qualité de la musique que nous diffusons et l'emploi que nous en faisons est meilleur. Au final, le public est d'accord sans être forcément d'accord puisqu'on est sur des parts de marché qui se ressemblent avec un nombre de téléspectateurs quotidiens assez voisin. Mais j'ai tendance à penser que d'un point de vue artistique, nous sommes la série quotidienne la plus aboutie des trois.La formule consacrée consiste à dire que vous tournez l'équivalent d'un épisode par jour.On fait tous ça, mais ça veut tout dire et rien dire. La vraie question, c'est combien de temps vous passez pour chacun de ces épisodes à faire travailler vos équipes. Globalement, nous avons trois équipes qui tournent en permanence, donc un épisode se fait en trois jours. Je ne connais pas la méthodologie de production des autres, mais je vais être assez clair : je n'ai aucune envie et intention de me comparer avec les deux autres séries quotidiennes. J'ai tendance à penser que la seule chose qui nous unisse vraiment, c'est notre format et le fait qu'on est dans un domaine général qui est le soap : nous racontons donc la vie des individus. Après, j'ai la sensation qu'on a tous des angles un peu différents, qu'on a une manière de percevoir les personnages, les comédiens. Mais je trouve presque limitant le principe du comparatif. La problématique qu'on soit tous diffusés au quotidien ne suffit pas à nous définir. Il y a des séries qui sont diffusées à raison de deux épisodes par soirée, on n'en conclut pas pour autant que "Clem" d'un côté et "Candice Renoir" de l'autre sont la même chose. Vous préférez le terme de "série quotidienne" à celui de "feuilleton quotidien". Pourquoi ?Le mot "feuilleton" n'est pas du tout dégradant, mais pour moi dans cette notion, il y a quelque chose qu'on retrouve dans la littérature et à l'époque dans les journaux, qui de l'ordre du mille-feuilles. C'est-à-dire qu'on a des personnages qui cohabitent dans un même espace et à qui il arrive des histoires qui ne sont pas toutes liées entre elles. Quand on est sur des séries comme "Coronation Street" ou "EastEnders" (diffusées en Grande-Bretagne, ndlr), on a des gens qui vivent tous dans un espace réduit. Nous, à l'inverse, on est probablement une des seules séries quotidiennes à ne pas avoir d'entité physique centralisée, comme la rue Coronation ou le quartier du Mistral, dans laquelle tous les personnages interagissent. Dans notre série, on est dans un Montpellier fantasmé, de la Grande Motte au Pic Saint-Loup, une espèce de Los Angeles à la française dans lequel on aurait à la fois de l'urbain et de la nature. Ce qui unit nos personnages, c'est plutôt leurs destinées et les histoires dans lesquelles ils vont agir les uns avec les autres. Beaucoup plus que le fait qu'ils soient tous "captifs" d'un même espace physique. Votre série est moins consommée en replay que ses concurrents avec en moyenne 240.000 téléspectateurs par épisode. Comment l'expliquez-vous ?La chronologie de journée peut être un début de réponse. Les gens ne sont pas forcément chez eux à 19h30, contrairement à 21h. On fait donc un petit peu plus le plein devant l'écran. Après, si on parle de comparatif : c'était quoi le replay de "Plus belle la vie" la première année ? Et quelle était l'audience la première année ? Dès le deuxième mois, on a commencé à parler de nous comme si on était là depuis 15 ans. La vraie réussite pour nous, elle est là.Avec le recul, regrettez-vous de ne pas avoir pu nommer votre série "Demain tout est possible", comme cela était prévu à la genèse du projet ? Vous avez finalement opté pour "Un si grand soleil" pour vous éloigner du titre du feuilleton de TF1...Je ne regrette rien. "Un si grand soleil" est un titre qui nous a accompagnés bien avant la mise à l'antenne. Je fais plutôt partie des gens qui voient le verre à moitié plein et force est de constater que le morceau "Sun" qu'on utilise pour le générique fonctionne assez bien avec le titre. Vous avez récemment traité de l'antisémitisme dans la série. Y a-t-il des thèmes que vous vous interdisez d'aborder ? Nous n'avons pas parlé de l'antisémitisme du jour au lendemain. C'est quelque chose qui vient sur des personnages qu'on connaît - Alexandre Levy et sa soeur Davia - et auxquels on s'est déjà attachés à travers d'autres histoires. C'est même une thématique qu'on a voulu bien avant les dérapages avec Alain Finkielkraut et les Gilets jaunes. Il n'y a rien qu'on s'interdise de traiter mais, pour tous les sujets qu'on a en tête, l'objectif c'est de trouver le bon moment et les bons personnages. Je pense que le jour où l'on parlera du terrorisme, on ne le fera de manière ni manichéenne, ni simpliste. Il sera intéressant de traiter de qui sont les jeunes Français devenus terroristes, sans jamais chercher à les excuser. Dans notre mission de série quotidienne de service public, il doit y avoir une forme de décodage du social et du réel dans lequel on évolue même si cela se fait à travers des choses totalement irréelles et fictionnées. "Un si grand soleil" a des arches narratives en moyennes plus courtes que celles proposées par les autres feuilletons, puisqu'elles changent toutes les 5 à 6 semaines. Cela a-t-il été la volonté dès le départ ? C'est possible. Sur une des séries qu'on a bien connu Olivier Szulzynger et moi, on a eu parfois un peu l'impression de tirer un peu à la ligne. Il y a une dimension derrière, qui n'est pas celle qu'on a le plus envie de présenter aux téléspectateurs, c'est que plus les arches sont longues, moins vous avez d'histoires à écrire. Avec deux fils narratifs par épisode dans '"Un si grand soleil", cela sous-entend énormément d'histoires qui existent au fil de l'année et du coup, énormément d'enchaînements le plus logique possibles pour passer d'une histoire à une autre. Nous essayons d'avoir des histoires très fortes pendant une période courte, tout en ayant la capacité d'avoir une petite phase d'amorce et une petite phase de sortie. Comme on a envie que nos personnages aient une vie au long cours, il faut aussi qu'on puisse traiter des conséquences des histoires qu'ils viennent de traverser. Et en même temps, si vous faites ça avec des histoires qui sont déjà hyper longues, à un moment, vous perdez votre public. Mais cela ne nous empêche pas de développer des intrigues au long cours, comme avec le personnage de Virgile, dont on découvre le passé peu à peu. On se laisse plus guider par la narration elle-même que par un formatage pré-déterminé de ce que doit être une histoire ou sa durée, pour laisser plus de place à la créativité des auteurs. Dans votre Montpellier de fiction, le taux de mortalité est moins élevé qu'à Marseille ou qu'à Sète (lieux de tournage de "Plus belle la vie" et de "Demain nous appartient", ndlr) avec seulement neuf décès recensés depuis le lancement. Un choix assumé ? C'est un vrai parti pris. Dans la réalité, la France n'est pas le pays où l'on s'assassine ou où l'on meurt le plus. On pense qu'il s'agit d'événements hyper importants et structurants pour les personnages. Il faut que cela reste exceptionnel. Pour moi, les meurtres et les morts sont quand même l'apanage du polar. Quelqu'un qui, à part un flic, se retrouverait avec plus de deux-trois cadavres autour de lui, cela transformerait probablement sa psyché et qui il est. Nous sommes dans un genre très digne qui est le soap et qui s'intéresse à l'intimité des gens. Dans cette idée-là, la mort existe mais la mort violente ne frappe pas tous les jours à la porte. Le CNC (Centre national du cinéma et de l'image animée) a annoncé une réforme des aides versées aux fictions, avec une baisse de l'enveloppe attribuée aux feuilletons. Quel impact pour "Un si grand soleil" ?Cela aura un impact limité pour nous la saison prochaine en raison de la manière dont nous avons structuré notre plan de financement. Nous avons anticipé cette baisse en ne demandant pas la totalité des aides auxquelles nous avions droit pour la première saison. Mais à l'évidence, ce n'est pas une réforme hyper positive pour les séries quotidiennes. Il ne faut pas oublier qu'on forme des gens dans le métier, qu'on leur met leur pied à l'étrier à tous les postes, techniques comme artistiques. A mon sens, les séries quotidiennes sont des outils nécessaires à la bonne santé d'une industrie audiovisuelle elle aussi en bonne santé. Pour schématiser et faire une petite image footballistique, les séries quotidiennes sont certainement les centres de formation des équipes qui jouent ensuite la Ligue des Champions. Il y a quelque chose de cet ordre-là avec des comédiens comme Blandine Bellavoir qu'on a découvert dans "Plus belle la vie" et qui a ensuite fait des séries de prime time, des téléfilms unitaires... De la même manière, aux Etats-Unis, la fiction télé a permis l'émergence de tout un tas de comédiens et de réalisateurs. "Un si grand soleil" parvient-il à s'exporter à l'international ?Par le truchement de TV5 Monde, nous sommes présents dans une centaine de territoires. Nous sommes en discussion avec des chaînes en Amérique du sud, une chaîne au Moyen-Orient... Ca fait partie de nos ambitions aujourd'hui. Mais la série quotidienne française ne jouit d'aucune image de marque. Il faut bien connaître l'univers des acheteurs : les gens qui cherchent des séries quotidiennes pour remplir des grilles sont plutôt focalisés sur les producteurs sud-américains et turcs qui sont les gros producteurs traditionnels. Ils ne se tournent pas forcément vers la France. Il y a donc un vrai travail de conviction et de démonstration à faire, ce à quoi on s'attelle depuis un long moment. "Plus belle la vie" passe en prime time plusieurs fois par saison et "Demain nous appartient" va faire le grand saut le lundi 10 juin sur TF1. Et vous ?On y pense, on l'a tous en tête. Mais on a un grand luxe, c'est de pouvoir réfléchir au meilleur moment pour faire les choses. Il n'y a rien de décidé, cela fait partie des choses qui arriveront à un moment ou à un autre. Je rappelle que nous en sommes à seulement 9 mois de diffusion. Neuf mois après leur lancement, "Demain nous appartient" ou "Plus belle la vie" n'avaient pas lancé de prime non plus. L'idée n'est pas de se tirer une balle dans le pied en allant trop vite. Le doyen des feuilletons français quotidiens, "Plus belle la vie", fêtera ses 15 ans cet été. Selon vous, quel sera le paysage des feuilletons français en 2034, autrement dit dans 15 ans ? Y en aura-t-il toujours trois à l'antenne ?Je pense que c'est tout à fait possible. Il y en aura peut-être un ou deux de plus. Est-ce-que ce seront les mêmes que ceux qui sont là aujourd'hui ? Peut-être qu'on aura des séries quotidiennes moins ancrées dans le réel. Pour les trois séries dont on parle, s'il y a quelque chose qui les unit, c'est de parler de la société d'aujourd'hui. Je dis peut-être une bêtise, mais dans 15 ans, il n'est pas impossible qu'on ait un soap quotidien dans un vaisseau spatial. A l'inverse, on pourrait aussi avoir une série quotidienne en costumes. Cela dépendra de la capacité des chaînes à investir. Mais une chose est claire, le jour où il n'y aura plus de grande chaîne généraliste, si un jour cela doit arriver, les séries quotidiennes auront du mal à survivre ou alors dans des genres très particuliers du type "Amour, gloire et beauté". Pour résumer, est-ce-que dans 15 ans "Plus belle la vie", "Demain nous appartient" ou "Un si grand soleil" seront encore là ? Je ne le sais pas. |
| likeasunshine Habitué(e)
Âge : 50
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Sam 8 Juin 2019 - 19:43 | |
| Encore un qui a le melon tout comme le jeune Gary Guenaire dont on ne peut pas dire qu'il ait brille pour l'instant dans la serie par son jeu... Et USGS se demarque peut-etre techniquement des 2 autres soaps, mais cote intrigues, on a parfois envie de rebaptiser la serie Un si grand sommeil... |
| nicolas8401'
| | likeasunshine Habitué(e)
Âge : 50
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Sam 8 Juin 2019 - 20:57 | |
| Ce qui est incroyable c'est qu'il dit ne pas aimer les comparaisons avec les 2 autres soaps mais il n'arrete pas d'en faire des comparaisons tout au long de l'interview, il fait meme des comparatifs avec les soaps anglais alors qu'on ne lui avait rien demande! |
| Flora24 Modératrice
Âge : 37 moderation@pblvfrance3.com
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Mar 11 Juin 2019 - 10:47 | |
| On peut lui reprocher d'avoir le melon mais perso je trouve qu'il n'a pas tort; USGS se démarque assez fort des deux autres question écriture, réalisation, musique, lumière etc.
Surtout par rapport à Demain nous appartient, qui est peut être plus 'rocambolesque' et dramatique avec de gros cliff hangers mais par contre niveau interprétation, psychologie des personnages ou finesse des intrigues, c'est pas ça..
Quant à PBLV, il n'y a qu'à voir les intrigues dédiées aux ados des dernières années, par rapport à comment les ados sont montrés dans USGS, y a pas photo.. --------------- "Mieux vaut mourir incompris que passer sa vie à s'exprimer." (William Shakespeare)
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| pau
| Sujet: Re: Interviews des comédiens Mar 11 Juin 2019 - 13:35 | |
| Quel con et lui-même caricature concernant les GJ et Finkelkraut, ce 'producteur' ne sait pas de quoi il parle, qu'il évite de traiter de sujets trop complexes pour lui et son feuilleton je le regarde pas et je le regarderai jamais. De plus d'ici quelques années il n'y aura plus de grande chaîne généraliste. La télé est amenée à mourir, tout sera sur internet. Quel naze. |
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