USGS : L'épisode du jour, commentaires au quotidien

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ailebrune a écrit:

La fée artificielle et scintillante a-t-elle
Humé les magnolias dans les plis d’une enfance ?
Goûté la pluie du soir enfui et ses fragrances ?
Elle est sans peau, sans yeux, sans voix, sans toi, sans ailes.

Paty a écrit:

Joli ! Ça manque de césures aux hémistiches, mais pas grave !

Paty a écrit:

Beau !

Merci Paty Je trouvais ça amusant de poursuivre les messages d'Argon et Raylen sous cette forme... Il y a quelques années, je ne sais plus à quelle occasion, on avait aussi manié l'alexandrin avec Raylen, Ans et toi aussi, non ?

Oui, je crois bien !
Ce qui est le plus drôle, quand on s'amuse à ça,
C'est que des heures après, on continue encor
À réfléchir en pieds, en compter six, voilà,
Et encore six, c'est ça, et même quand on dort !

Allez, encore un petit coup d’IA, un quatrain :

Un souffle créatif, l'âme qui se dévoile,
Se penche sur la page, laisse échapper sa voix,
Garde en chaque vers une part de son étoile,
Sublime ses pensées, les partage avec soi.


Mais c’est un acrostiche !

"Garde dans chaque vers, un peu de son étoile"

Qu'est-ce que t'en penses? Sinon,génial l'acrostiche.

Celui-ci est plutôt chouette, mais je préfère la version de Raylen, car elle évite l'hiatus "garde en".

Moi, j’aime bien le en, plus poétique que le dans.
En revanche, j’ai du mal à comprendre le concept de partage avec soi…

Puisqu’il n’y a toujours d’épisode à commenter, voici une salve d’octosyllabes envoyée par la même IA générative, Copilot, en l’occurrence.

Raylen, cœur vibrant en liesse,
Aimant les vers que l’IA tresse.
Yeux émus, en quête ardente,
Liseuse aux mains élégantes,
Écho des mots qui se fondent,
Noyant son âme dans ce monde.

et

Poèmes tissés avec soin,
Amour pour l'IA sans fin.
Toujours émerveillée,
Y chantant son féal lien.

Une certaine similitude… logique, j’ai utilisé le même prompt, j’ai juste changé cde pseudo

Argon, vos compliments me touchent en plein coeur.
Votre  talent unique à tirer le meilleur
et de la poétique et de l'informatique
pour trousser un exquis madrigal de senteur
suranee , fait de vous l'incontesté champion
de la modernité et de la grâce antique.

D’abord, je n’y suis pas pour grand-chose, quoique faire un prompt efficace n’est pas forcément si facile.
Ensuite, le second poème est dédié à Paty, mais elle n’est pas citée. Du coup, j’ai tancé l’IAG qui me propose :

Paty, l'âme qui s'abreuve,
Au forum où l'IA pleuve.
Toujours émue par les vers,
Y trouvant mille univers.

Je passe l’éponge, mais il ne faudrait pas que ça se reproduise !

Bon, USGS reprend ses droits, l’épisode du lundi soir est passé.
Et il ne s’est rien passé. Rarement vu un episode aussi creux…

Sauf la fin : Muriel révèle enfin à Boris qu'Elizabeth a bien mis à profit les révélations du gars, pour se débarrasser de Catherine en prévenant la presse, sans même lui donner une chance de prouver qu'elle n'est pour rien dans la fraude. Et je crois qu'elle n'y est réellement pour rien.

Et Boris envoie enfin promener Muriel ! Je m'attendais au contraire à ce qu'elle lui propose de passer la nuit chez elle puisqu'il a été fichu à la porte par sa mère.  

J'imagine que demain, Boris va aller dire à Elizabeth ce qu'il pense de ses méthodes. Pas sûr que l'atmosphère redevienne sereine au sein du groupe...

Paty a écrit:

Oui, je crois bien !
Ce qui est le plus drôle, quand  on s'amuse à ça,
C'est que des heures après, on continue encor
À réfléchir en pieds, en compter six, voilà,
Et encore six, c'est ça, et même quand on dort !

raylen a écrit:

Argon, vos compliments me touchent en plein coeur.
Votre  talent unique à tirer le meilleur
et de la poétique et de l'informatique
pour trousser un exquis madrigal de senteur
suranee , fait de vous l'incontesté champion
de la modernité et de la grâce antique.

Argon a écrit:

D’abord, je n’y suis pas pour grand-chose, quoique faire un prompt efficace n’est pas forcément si facile.
Ensuite, le second poème est dédié à Paty, mais elle n’est pas citée. Du coup, j’ai tancé l’IAG qui me propose :

Paty, l'âme qui s'abreuve,
Au forum où l'IA pleuve.
Toujours émue par les vers,
Y trouvant mille univers.

Je passe l’éponge, mais il ne faudrait pas que ça se reproduise !

Oh, un poème pour moi, merci Argon !
Mais je trouve ce "pleuve" au conditionnel étrange, si ce n'est pour la rime

Et moi je dis pitié, ce Paris où il pleuve
Quant au vilain Sohan, bah il suffit qu'il creuve
Pour que Marie-Sophie, je veux dire sa veuve
Puisse ressusciter, vivre des amours neuves

Pas mal, du vieux françois au second vers ?

Un acrostiche sur ce même thème, via l’IA :

Un souffle libérateur pour elle, enfin délivrée,
Sohan, laisse-la en paix, va loin, disparaîs.
Garde Marie-Sophie dans un doux écrin doré,
Sanctuaire d'amour, elle renaîtra en paix.

Citation :

Mais je trouve ce "pleuve" au conditionnel étrange

Le dubjonctif derrière où que, pas de problème, mais directement derrière le où, ça laisse perplexe.

Tiens, j’ai demande à Copilot de me faire un sonnet pour résumer l’épisode d’hier soir.

Catherine confronta son amie Elisabeth,
D'une solidarité souhaitant faire l'effet.
Elisabeth voulait que justice soit faite,
Mais Catherine pensait à un piège en effet.

Hugo réveillé, vit Florent en secret,
Portant un t-shirt qu'il pensait être sien.
Florent chercha à savoir pour son sort cruel,
Hugo voulait fuir, délaisser ce lien.

Sohan disait à sa fille son amour pour Marie,
Tandis que Léonor doutait de sa passion,
Marc déclinait une sortie, pris par son fardeau.

Boris demandait l'avis sur la trahison,
Muriel confirma Elisabeth dans le trou noir,
Et Boris en colère contre tous les faux.


Bon, c’est… comment dire… perfectible

Oui, et ce ne sont pas tes prompts qui sont en cause. Madame l'Hiha ne sait pas compter les syllabes pour la poésie, sans compter ses problèmes de compréhension. N'hésite pas à l'admonester en lui rappelant que :

Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement.

( citation doublement utile, tant sur le fond que sur la forme )

Argon a écrit:

Le dubjonctif derrière où que, pas de problème, mais directement derrière le où, ça laisse perplexe.

Tu es perplexe et le dubjonctif me laisse dubitative... Est-ce quand le subjonctif est dû, ou l'inverse ?

Citation :

le dubjonctif

C’est la faute au Père Noël, j’aurais pas dû essayer ses moufles…

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ailebrune a écrit:

Et moi je dis pitié, ce Paris où il pleuve
Quant au vilain Sohan, bah il suffit qu'il creuve
Pour que Marie-Sophie, je veux dire sa veuve
Puisse ressusciter, vivre des amours neuves

Excellent
signé Sainte Beuve

Révérence, lauriers, et salut bien bas du chapeau à tous les poètes (à revenir savourer un peu plus tard en ce qui me concerne )